Prison Break.
J'ai triché. J'ai regardé la fin. J'ai bien fait. A quoi ça sert que je me fasse balader sur d'autres semaines en malmenant mes émotions. A la fin il meurt. Pour faire bien il se sacrifie et sauve sa belle parce qu'il se sait condamné par une p*** de tumeur.
Oui je sais c'est une fiction, y a pas de quoi en pleurer.
Mais j'y peux rien, quand je vois des héros sexy, charismatiques, intelligents, humains mourir bêtement alors qu'au long de leur carrière fictive ils ont avancé entre le bien et le mal qui devient l'un ou l'autre suivant le contexte, sans jamais perdre l'essence de leurs valeurs, et bien ça me fout les nerfs en pelote, me ramène au sens de mon existence.
Et puis si Sarah n'était pas tombée amoureuse de Michael, elle n'aurait pas été obligée de passer une partie de sa vie fictive à fuir, elle n'aurait certainement pas tué des gens, elle ne serait pas maman solo, mère d'un enfant orphelin de père. Mais elle n'aurait pas non plus partagé la vie de cet homme fictif exceptionnel qui a sacrifié sa vie pour son frêre qui en fait ne l'est pas.
La vie c'est une question de choix. Prison Break n'est fait que de ça, de choix à faire, fictifs mais déchirants et ça se finit en happy end au goût amer.
Ca me met super mal à l'aise, comme si je n'étais pas encore libre de mes propres choix, attachée à la vie en attendant du meilleur que seule je peux me donner.
On ne sait jamais quelles seront les conséquences de nos choix. Egoistes pour certains, généreux pour d'autres, ils ont le bienfait de la valeur qu'on leur donne et qui autorise à mourir sûr de soi.
Et même en cavale, grillé comme un poulet, il est digne dans sa mort le beau Michael.
Comme dit ma soeur de coeur, on a la vie qu'on s'invente.
Et si je commençais à écrire mon scénario (fictif)?
Oui je sais c'est une fiction, y a pas de quoi en pleurer.
Mais j'y peux rien, quand je vois des héros sexy, charismatiques, intelligents, humains mourir bêtement alors qu'au long de leur carrière fictive ils ont avancé entre le bien et le mal qui devient l'un ou l'autre suivant le contexte, sans jamais perdre l'essence de leurs valeurs, et bien ça me fout les nerfs en pelote, me ramène au sens de mon existence.
Et puis si Sarah n'était pas tombée amoureuse de Michael, elle n'aurait pas été obligée de passer une partie de sa vie fictive à fuir, elle n'aurait certainement pas tué des gens, elle ne serait pas maman solo, mère d'un enfant orphelin de père. Mais elle n'aurait pas non plus partagé la vie de cet homme fictif exceptionnel qui a sacrifié sa vie pour son frêre qui en fait ne l'est pas.
La vie c'est une question de choix. Prison Break n'est fait que de ça, de choix à faire, fictifs mais déchirants et ça se finit en happy end au goût amer.
Ca me met super mal à l'aise, comme si je n'étais pas encore libre de mes propres choix, attachée à la vie en attendant du meilleur que seule je peux me donner.
On ne sait jamais quelles seront les conséquences de nos choix. Egoistes pour certains, généreux pour d'autres, ils ont le bienfait de la valeur qu'on leur donne et qui autorise à mourir sûr de soi.
Et même en cavale, grillé comme un poulet, il est digne dans sa mort le beau Michael.
Comme dit ma soeur de coeur, on a la vie qu'on s'invente.
Et si je commençais à écrire mon scénario (fictif)?